burn-out

DE   FR

burnout-info.ch

Le Burnout caractérise un syndrome de fatigue qui peut se développer
insidieusement pendant un temps prolongé moyennant
surenchère comme agent de stress. Les personnes
très engagées sont souvent touchées.

Maîtrise de Burnout: constituer les ressources physiques et mentales

Maîtrise de Burnout

Les ressources physiques et psychologiques servent de tampon contre les charges de stress "objectives". Ils sont variés et diffèrent chez chacun – les uns se déstressent en téléphonant à quelqu’un et les baratinent pendant des heures avec le stress vécu est à la suite se sentent émotionnellement mentalement tonifiés. Les autres préfèrent partir tous seuls pour toute une journée pour ainsi «libérer l’esprit».

Lors de la constitution ou le renforcement de ses propres ressources, de l’introspection est nécessaire: qu'est-ce qui fonctionne bien? Après quelle activité on se sent revigoré, libéré, refait le plein d’énergies. Comme mesure pour combattre le stress permanent il peut être très utile d’élargir son répertoire des propres ressources et de se suivre les stratégies les plus promettantes et efficaces en profondeur sur un long terme.

Voici quelques stratégies prometteuses pour constituer des ressources physiques et mentales.

Trouver un équilibre entre travail et régénération

Chaque athlète sait qu'il doit compter avec des blessures graves et des maladies, s’il ne prend pas un repos entre les séances d'entraînement intenses. Comme dans le sport ou une augmentation de la performance peut difficilement être acquise, si entre les séances on n‘accorde pas une pause pour la récréation et détente aux muscles, aussi les capacités mentales et émotionnelles se perdent si on ne leur accorde pas des pauses récréatives régulières. Des fenêtres temporelles incorporés régulièrement dans le travail quotidien avec aucun droit à des prestations (envers soi ou d’autres) et dédiés uniquement à la propre tranquillité et recréation, sont surtout indispensables dans un stress permanent. Pour une personnes fortement orienté sur les résultats avec une tendance à se surmener, il lui en coûte beaucoup à accepter qu’une pause (sans activités) pour assurer la qualité du travail à long terme tient la même importance comme sa propension à l’effort et sa volonté à répondre à d’hautes exigences et leur désir constant de s’améliorer et de devenir indispensable etc.

Reprenons une analogie du sport. En règle générale s'applique pour les marathoniens: pour chaque kilomètre couru lors d’un concours l’entraînement qui suit doit être considérablement réduit d’une demi-journée (après un marathon de 42 km par conséquent pendant env. trois semaines réduire considérablement l'activité motrice, voir aussi Grüning 2008 1), p. 104). On pourrait exiger le similaire les athlètes de la profession et ceux qui se dépensent dans le travail actif: deux journées de travail avec haute charge physique ou mentale justifient une demi-journée d’activité réduite resp. régénération mentale ciblée, parce que à défaut la productivité est en danger à la longue.

Revendication sympathique, mais le temps de la mise en œuvre manque? On rencontre souvent cette logique chez les individus exposés au risque de Burnout. Là-dessus il n’y a que la réplique: ignorer en permanence les besoins vitaux physiques et mentaux est une garantie absolue pour un écroulement physique ou mental, pas rare voire même en même temps. Qui ne veut pas courir ce risque doit s’occuper à temps d’un respectif équilibre.

Maîtrise de Burnout: Pratiquer régulièrement du sport

L’évacuation de l’hormone de Stress Cortisol du corps (voir aussi: "Burnout causes - Stress") est nettement accélérée quand on a des activités sportives. La pratique régulière de sport (3x par semaine pendant minimum 20 min.) avant ou après sa journée de travail est donc une possibilité saine de prévention resp. pour la maîtrise du stress, cependant seulement s’il est pratiqué sans trop d’exigences. Pour celui qui se met dans sa profession et dans son sport récréatif le sport peut devenir une ultérieure source d’attentes (de performance) déçues.

Lors de l’exercice du sport extrême de surcroit les dits »radicaux libres» ( = produit intermédiaire d’oxygène dans le métabolisme) sont libérés dans le corps et ont un effet détériorant sur les cellules et favorisent les maladies comme l'athérosclérose, infarctus du myocarde ou d’apoplexie, le cancer, les infections chroniques etc. Sans parler des risques de blessures du sport qui peuvent survenir à la suite de surcharge physique (par ex. dans l’entraînement du style «de zéro à cent en un quart de tour»).

Dans le sport d’endurance, comme par ex. le jogging, s’ajoute l’avantage qu’en outre des endorphines, les dites "hormones du bonheur", sont sécrétées, ce qui soulève l’humeur et diminue les sentiments d’angoisse ou d’abattement. (Voir l’étude conjointe de Uni Technique Munich et le l’uni Bonn 2): MRI 2008, p. 3).

Nourriture

La résistance au stress peut aussi être influencée et fortifiée par la nourriture. Ainsi, non uniquement la composition de l'alimentation est inclue, mais aussi le temps et le cadre. Qui s’alimente surtout d’aliment industriels ou cuisine sur le pouce et le jette dans sa bouche «en passant» et si ça se trouve devant un écran ou au bureau, ne doit pas s’étonner s’il se sent rapidement avachi, fatigué, distrait et insatisfait. Tout aussi défavorables sont les conséquences si on se prive de petit-déjeuner et éventuellement même du déjeuner, et de répondre aux nécessités de nourriture avec de grandes quantités de café et de cigarettes en remplacement de nourriture.

Comment, alors, peut-on améliorer l'alimentation en termes de prévention du stress? Comme on le sait, un stress prolongé affaiblit le système immunitaire de l'organisme. Pour la production permanente de millions de cellules immunitaires le corps humain nécessite des éléments constitutifs de la nourriture, avant tout des vitamines, sels minéraux et substances végétales avec des caractéristiques anti-oxydantes. Un choix judicieux des aliments, une nourriture riche en vitamines et pauvre en gras avec beaucoup de fruits frais, salade, légumes, blé complet et poisson, peu d’alcool et sans nicotine, représente donc l'un des moyens les plus faciles et moins chers de prévention contre les conséquences du stress.

Ceux qui prennent encore le temps pour manger consciemment et en tranquillité, s’offre au passage également un bref répit psychologique du travail - à condition qu'il ne planche pas sur les problèmes professionnels avec des collègues pendant le repas du déjeuner.

Entretenir des relations

Rapports sociaux de soutien (par ex. avec, un partenaire, la famille, des amis, les collègues, etc.) ont donc le plus grand effet tampon contre les effets néfastes du stress. Ceci peut être considéré comme scientifiquement prouvé (pour une bonne vue d'ensemble des études pertinentes dans ce domaine de plus de 25 années de recherche, voir Wolf 1998 1) ). Dans nombreuses études scientifiques une relation linéaire entre le soutien social perçu et «l‘état psychophysique» a été établi.

Qu'il y ait cette relation ou cet effet tampon, c'est donc incontesté. Juste le pourquoi de ce soutien social se prête ainsi de tampon de stress et sur cette "piste d’effet", il ya les différents points de vue scientifiques, différents modèles d'efficacité. Il est entre autres présumé que le soutien social élève rehausse l‘estime de soi, la motivation, l’attente de succès et la disponibilité des propres capacités, diminue l’instabilité émotionnelle handicapante et penche vers le positif l'évaluation de stress et des propres capacités, une influence positive sur les aptitudes à résoudre les problèmes, a aussi un impact positif sur le comportement de la personne qui, de plus, accroît la sensation de bien-être dans l’immédiatement et ainsi aident à supporter et maîtriser avec plus de facilité des événements négatifs. (voir Wolf 1998 1), p. 63 et suiv.).

En outre, le soutien social a un impact sur les comportements liés à la santé, c.à.d. par ex. une alimentation saine, exercice physique, la prise de médicaments nécessaires ou la consultation d’un professionnel (voir Wolf 1998 3), p 64). Chez un des facteurs d’effet essentiel pour ces impacts positifs du soutien social sur le vécu du stress et sa maîtrise il est entre autres question du soutien d’autonomie et l'expérience de la connectivité à d'autres personnes. En tout cas le soutien social représente une ressource essentielle pour la maîtrise de stress et est pour cette raison aussi appelée "ressource sociale". C’est une fatalité que justement ceux qui sont concernés du Burnout négligent complètement ce «genre» de ressource. D’abord peut-être pour des questions de temps, parce qu’ils s’identifient beaucoup avec leur travail qui est prioritaire é toute autre chose, et dans la suite, (dans uns stade du Burnout avancé), se sentant entretemps épuisés, fatigués et débordées, ils se sont déjà complètement désinvestis socialement.

Dans certains métiers déjà lors du début de leur formation (par ex. infirmiers, professeurs) l’attention est attirée sur le thème de Burnout et un soutien de travail social sous forme de table ronde lié à la thématiques et des groupes d'entraide sont organisés.

Entretenir les propres centres d’intérêt et les activités de loisir

Les sentiments ressentis lors d’un succès obtenu, la compétence vécue ou simplement la joie pendant et après avoir pratiqué une activité, sont des aspects centraux des activités de loisir entrepris avec gaité de cœur et les intérêts poursuivis activement. Tels composants de sentiment sont une ressource de la gestion du stress – si poursuivis régulièrement - en créant un équilibre émotionnel aux situations de stress perçus comme négatif et accablant. La composante récréative lors des activités de loisir, qui procurent du plaisir sans aspirations exagérées à performer stimulent de manière optimale l'esprit et l'âme, en tout cas nettement plus élevé que si, par exemple, on passe le même temps à regarder passivement la télévision.

03.12.2012 - cmz


Notes de bas de page:

1) Grüning, Martin: Marathon unter 4 h in 6 Monaten (Marathon en moins de 4 h en 6 mois). Meyer & Meyer, Aachen 2008

2) MRI (2008): Joggen macht high - und schmerzfrei. Le jogging est inébriant – et sans douleur (en allemand) dans: MRI News 03/2008, p. 3. à trouver: ici

3) Wolf, I. A. (1998): Effekte von Stress, sozialer Unterstützung und Persönlichkeitsvariablen auf psychisches Befinden (Les effets du stress, le soutien social et les variables de personnalité sur l'état mental). Dissertation Universität Marburg.